Garder le cap

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mardi 25 juillet 2017

1er jour de marche - Conques - Decazeville (environ 19km)

Petite sculpture trouvée dans l'abbatiale


Au  matin de ce premier jour de marche, sachant que nous ne marcherions environ qu'une vingtaine de kms (...), nous avons pris le temps de nous mettre en route doucement. Bien nous en a pris, car la journée a commencé par une énorme averse alors que nous petit-déjeunions.


Une dernière petite visite de l'abbaye avant de se mettre en route. Et une petite photo souvenir. Magie du départ : un homme ayant assisté aux Laudes (office religieux matinal pour les incultes :-), est sorti de l'abbaye au moment où nous chargions les sacs sur le dos et s'est mis à chanter la chanson des pélerins : ULTREIA


C'était super sympa !!!

Nous voici donc arnachés, chaussés, bâtons de marche à la main et c'est parti pour un peu plus de 140 km que nous parcourerons en 7 jours.


Premiers pas sur le chemin sous un ciel bien chargé !! Mais tant mieux : pas de grosse chaleur pour ce premier jour de marche, sachant ce qui nous attend.

Nous commençons par une grande descente dans les rues pavées de Conques, suivie d'une montée qui m'a parue interminable. Regardez bien sur la photo ci-dessous: en haut, au milieu des arbres, apparait une petite chapelle (en blanc en tout petit sur l'image). Et bien, après être descendus en bas de Conques, nous avons attaqué la remontée en face, pour grimper encore plus haut.

 

Petit pont à la sortie de Conques :
 

Et voici la vue de Conques (de la petite chapelle)
 
Et la même petite chapelle :


Enfin arrivés tout en haut :  la première grosse épreuve est passée ! ouffff
J'ai dû m'arrêter une dizaine de fois dans la montée, et visiblement, j'avais "une sale gueule" dixit mon homme. En tout cas, j'ai cru que mon coeur n'allait pas tenir ... ;-)

Un chemin typique du parcours :


 

Et la promesse d'un repos bien mérité à l'arrivée de cette 1ère étape, dans un écogîte : Le mineur paysan.
Juste la promesse, car figurez-vous qu'en essayant de m'allonger dans un de ces hamacs, je me suis vautrée lamentablement, et j'ai failli me faire très mal au bras. Heureusement, plus de peur que de mal !
 




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